Il ne peut pas manger la nourriture des adultes. Mais le lait contient un élément chimique puissant – le facteur de croissance insuline ou IGF-1 – qu’on trouve naturellement chez les filles pubères car il favorise le développement des seins. Cette substance chimique, conçue pour stimuler la croissance, pourrait aussi favoriser la croissance anarchique des cellules. Plus de 70% de la population mondiale ne digère pas le sucre du lait, le lactose. L’intolérance au lactose pourrait être le signal d’alarme de la nature : peut-être la nature essaie-t-elle de nous dire que cet aliment n’est pas fait pour nous. L’homogénéisation apparemment permettrait seulement aux éléments chimiques cancérigènes de passer plus vite dans le sang. Les études épidémiologiques montrent une corrélation positive entre la consommation de produits laitiers et le cancer du sein depuis une vingtaine d’années.
Les chercheurs commencent à trouver une augmentation du risque de cancer du sein et de la prostate chez les personnes qui consomment du lait. Il y a aussi les dioxines et autres éléments chimiques très toxiques, certains cancérigènes, souvent solubles dans les graisses, qu’on trouve en concentration particulièrement élevée dans le lait. Une autre question est maintenant soulevée : le lait que nous buvons depuis les années 1960 n’est plus le même que celui d’avant ; en effet auparavant les vaches mangeaient de l’herbe, ce qui est rarement le cas de nos jours.
Comment savoir : facile ! Vérifiez par vous-même : stoppez le lait pendant quelques semaines et observez l’effet sur votre bien être. Si vous vous sentez mieux, face à des petits maux comme l’acné, une allergie, des ballonnements, etc. cela vous encouragera à appliquer le principe de précaution contre toutes ces nouvelles maladies qui apparaissent avec le développement du mode de vie occidental.