L’objet de cette étude a été de mesurer l’appétit sexuel à l’aide d’un questionnaire, sur différents groupes pratiquant des activités sportives d’intensité diverses, sur la base du MET (Metabolic Equivalent Task). Rappelons que le MET/ heure permet de mesurer la dépense énergétique d’une personne. Par exemple, la dépense énergétique à l’heure est plus importante en faisant du squash que du yoga, c’est évident. 4 groupes ont été constitués pour mener cette étude : les « sédentaires « (inférieur ou égal à 3 MET), les « peu actifs » (entre 3 et 8,9 MET), les « modérément actifs » (de 9 à 17,9 MET) et enfin les « intensément actifs » ( +18 MET). Seul le groupe ultra-sportif s’est distingué par une activité sexuelle déclarée de 70.3, soit une activité accrue de 30% par rapport à la moyenne de tous les participants (qui était de 53), alors que le groupe modérément actif n’a pas bénéficié de cet avantage. Toutefois, compte tenu de ses bénéfices sur la santé en général, la pratique d’un exercice modéré reste une bonne chose, même si cela n’agit pas directement sur l’activité sexuelle. Les plus sportifs sont donc aussi les plus sexuellement actifs, à moins qu’ils ne soient tout simplement plus menteurs…
L’objet de cette étude a été de mesurer l’appétit sexuel à l’aide d’un questionnaire, sur différents groupes pratiquant des activités sportives d’intensité diverses, sur la base du MET (Metabolic Equivalent Task). Rappelons que le MET/ heure permet de mesurer la dépense énergétique d’une personne. Par exemple, la dépense énergétique à l’heure est plus importante en faisant du squash que du yoga, c’est évident. 4 groupes ont été constitués pour mener cette étude : les « sédentaires « (inférieur ou égal à 3 MET), les « peu actifs » (entre 3 et 8,9 MET), les « modérément actifs » (de 9 à 17,9 MET) et enfin les « intensément actifs » ( +18 MET). Seul le groupe ultra-sportif s’est distingué par une activité sexuelle déclarée de 70.3, soit une activité accrue de 30% par rapport à la moyenne de tous les participants (qui était de 53), alors que le groupe modérément actif n’a pas bénéficié de cet avantage. Toutefois, compte tenu de ses bénéfices sur la santé en général, la pratique d’un exercice modéré reste une bonne chose, même si cela n’agit pas directement sur l’activité sexuelle. Les plus sportifs sont donc aussi les plus sexuellement actifs, à moins qu’ils ne soient tout simplement plus menteurs…